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Chuck Besley
« Mais les gens désespérés ne se rencontrent pas. Ou peut-être au cinéma. Dans la vraie vie, ils se croisent, s'effleurent, se percutent. Et souvent se repoussent, comme les pôles identiques de deux aimants.» Pseudo : blackroses. (emilie) Avatar : charlotte free Crédit : crying lightning (avatar) - tumblr (gif)
| Sujet: we are young (chuck). Lun 27 Aoû - 19:35 | |
| besley, charlotte dites 'chuck'. Âge, date et lieu de naissance: vinft-trois ans, le quinze octobre, à Little Rock. Nationalité: Américaine. Origine(s): Irlandaise et Américaine. État civil: 404 error Orientation sexuelle: officiellement homosexuelle, officieusement bisexuelle à tendance hétéro. Métier: tient une boutique de tatouages. Groupe: c'est arrivé près de chez vous. Avatar: charlotte free. personne ne retient personne. La vérité, c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde c'est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n'ai jamais pu me tuer moi. (CELINE)
elle boit du lait, le matin. dans un bol, pas dans une tasse et avec juste une cuillère de céréales. › elle joue de la guitare depuis douze ans, maintenant et se débrouille à merveille. › elle a appris à se battre avec son père, avant le dernier voyage de celui-ci en irak. › elle est insomniaque et ne dort quasi jamais la nuit. › elle a entamer une cure de désintoxication dont elle s'est fraîchement enfuie. c'était il y a un mois et sa mère est folle de rage. › chuck a fini par avoir en horreur les chiens. c'est à cause de sa mère qui était adepte des concours canins. › elle ne s'est jamais battue avec des filles, seulement avec des hommes. généralement d'un gabarit léger pour ceux qu'elle a vaincue (2) et d'un gabarit de trois fois sa taille et son poids pour ceux qui l'ont mis à terre (5) › plus jeune, au collège et au lycée, on l'appelait la psychopathe. elle fut donc assez seule, les gens la fuyant. › elle a perdu son père à l'age de onze ans. il est partit faire la guerre en irak et elle ne l'a plus jamais revu. › jusqu'à présent, elle ne trainait qu'avec des garçon (ou presque). elle n'a pas l'habitude des filles, de leurs manières et surtout de leur jugement. › elle ne croit pas en dieu ni en aucune religion et pourtant, elle porte des croix partout, en met partout. en fait, elle est juste morbide et estime que la mort est somme tout naturel donc autant la côtoyer tout de suite. › elle est du genre casse-cou, se contre-fiche de ce qui peut lui arriver. › elle est insensible à la douleur depuis la naissance, c'est une forme de malformation, vous voyez. et ceci explique cela, sa différence et ses étrangetés qui ont effrayé les gosses. › ça maman est gaga de sa fifille. en outre, elle est toujours à s'inquiéter pour chuck, à la considérer, parfois, comme une enfant de huit ans. ce qui ne plait pas du tout, mais alors pas du tout à l'intéressée. › elle a deux frères cadets, Doug et Qwaid, avec qui elle n'a plus aucun contact depuis qu'ils sont partis de la maison. › elle adore la viande rouge saignante et a horreur des poules et donc du poulet. › elle court les friperies pour s'habiller et même si elle ne l'avouera jamais, elle aime bien les petites robes fifilles de sa maman, qu'elle mixte avec des vestes en cuir et autres doc materns. › elle a ouvert son salon de tatouage il y a trois ans et quatre mois précisément. elle le tient avec sa 'petite amie'. › ça n'a surpris personne qu'elle fasse son coming-out. › contrairement à ce que tout le monde semble croire, chuck n'a jamais tenté de mettre fin à ses jours et aime plus la vie que ce qu'il n'y parait. elle aime juste jouer avec le feu, se retrouver près du bord, sur le fil, d'un côté le vide et de l'autre, le reste, la vie, vous voyez le genre. › en fait, elle aime bien que les gens parlent d'elle. d'ailleurs, elle n'a pas démenti le fait d'être homosexuelle. bien sûr, ses histoires d'amour avec des hommes étaient tellement foireuses que personne n'y prêtait attention, mais dès qu'on l'a vu embrassant une femme, alors là ! là c'était de l'officiel, miss charlotte besley était lesbienne. › chuck s'envoie en l'air en moyenne, deux fois par semaine, jamais avec le même mec. › ne vous fiez pas à sont apparence de jeune fille en fleur, c'est du vent. elle en joue, elle s'en amuse, mais sous cette fragilité, elle est féroce, teigneuse et chiante. vous êtes prévenus.
Pseudo/prénom: Blackroses. (émilie) Âge: bientôt dix-huit piges. Présence: quasi quotidienne. Commentaire:
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Prototype personnel de Dieu, mutant à l’énergie dense jamais conçu pour la production en série. Il était le dernier d’une espèce : trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir... (las vegs parano). |
Dernière édition par Chuck Besley le Mar 28 Aoû - 14:01, édité 17 fois |
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Chuck Besley
« Mais les gens désespérés ne se rencontrent pas. Ou peut-être au cinéma. Dans la vraie vie, ils se croisent, s'effleurent, se percutent. Et souvent se repoussent, comme les pôles identiques de deux aimants.» Pseudo : blackroses. (emilie) Avatar : charlotte free Crédit : crying lightning (avatar) - tumblr (gif)
| Sujet: Re: we are young (chuck). Lun 27 Aoû - 19:36 | |
| T'es une âme grise, joliment grise, comme nous tous . La foule grossit et , on ne sait pas pourquoi , peut-etre parce que c'est toujours tres bete une foule , elle se fait menaçante , serre de plus en plus les prisonniers . Des poings se brandissent , des insultes volent , des cailloux aussi . Une foule , c'est quoi ? c'est rien , des pécores inoffensives si on leur cause les yeux dans les yeux . Mais mis ensemble , presque collés les uns aux autres , dans l'odeur des corps , de la transpiration , des haleines , la contemplation des visages , à l'affut du moindre mot , juste ou pas , ça devient de la dynamite , une machine infernale , une soupière à vapeur prête à péter à la gueule si jamais on la touche . (PHILIPPE CLAUDEL) Le pas léger mais hésitant, je tentais une entrée dans le self. Les premières odeurs de nourritures grasses m'emplirent les narines et je retiens une envie de vomir. C'est ensuite le son, qui parvint à mes oreilles. Une montée crescendo de la foule dans ses rugissements les plus triviaux. Mes mains se mirent à trembler. Mes jambes s'entrechoquaient. Merde. Qu'est-ce que je venait faire là déjà ? Je resserrais la pression de mes doigts sur le sac en plastique contenant mon repas. Derrière mon rideau de cheveux blond, je me dissimulai, trouvant un peu de réconfort à l'idée de passer inaperçue. Au moins, j'étais ignorée et rien n'avait plus d'importance que de pouvoir déjeuner sans être épiée ou jugée. Dans la petite robe rose de ma mère, j'osai poser un pied dans la tanière d'adolescents échauffés aux hormones. Je haïssais tous ces gens. Je les hais toujours. Lentement, je m'aventurais en territoire hostile. Pas un regard dans ma direction. Rien. J'étais le fantôme de McClellan. Aussi intéressante qu'un mur. Et même les murs sont plus intéressant ; ils permettent l'affichage d'évènements. Moi, je servais à quoi ? A satisfaire les envie de domination des princesses des lieux. « Psychopath killer ... Psychopath... » entendis-je murmurer entre deux tables. Mes muscles se tendirent. Je me figeais en plein milieu de la salle. Ça recommençait. Derrière ma frange, je tournai la tête à gauche, puis à droite. En face puis derrière. Là, attablée comme une bande de hyènes affamées, Ruby Bloomshell et sa clique de princesses. Elles en étaient à se lancer des frites dans leur décolleté sur-gonflé. La chirurgie fait des miracles en matière de seins ! Ce qu'elles semblaient ignorer, c'étaient que dans leur dos, on les appelait les baleines siliconées. Non pas que quelque chose soit gros chez elles -hormis leur poitrine. Entendez bien, rien d'autre ! Même leur cerveau est resté au stade de fœtus, sans jamais évoluer plus loin que pipi-caca.Leurs regards se perdaient dans ma direction dès que nous nous côtoyions. Aujourd'hui n'échappait pas à la règle et j'entendais encore leurs voix nasillarde entonner un air que je connaissais par cœur. Je l'entendais à chaque pas dans les couloirs. Psychopath Killer était devenu une sorte d'hymne me représentant. J'encaissais. Ce n'était qu'une chanson. Pourtant, à cet instant précis, je n'avais pas envie de rigoler. Ce n'était pas la journée pour ce genre de bêtises. Je levais les yeux au ciel et laissais tomber mon repas du midi. Tant pis, je n'avais plus faim. Je me dirigeais raide comme un piquet, les poings serrés, vers leur table. Arrivée, elles me regardèrent surprises. Elles ne disaient plus rien. Elles ne jouaient plus, non plus. Elles m'observaient, les sourcils haussés. Lentement, ma bouche articula des mots qui me parurent étrangers à moi même. « Salopes. » Le mot était sortit comme tel. Boum, il était lâché. Il flotta dans l'air pendant plusieurs secondes. Le calme. Silence pesant. Ruby et les autres me dévisageaient, les joues rouges, les yeux grands ouvers. Ruby fut la première à réagir, mais avec lenteur. « Pardon ? ». J'avais le souffle court. J'entendais mon cœur battre fort dans ma poitrine. « Salope. » Je lui crachais ce mot barbare au visage puis me tournais vers ses acolytes. L'une après l'autre : « Salope. Salope. Salope. » Tous, dans toute la cafétéria, restèrent un instant choqués. Plus un son, sauf en cuisine où l'on s’affairait autour des plaques pour faire bouillir les frites dans quatre litres d'huile. Pour le reste, on entendait à peine un murmure choqué. « C'est à moi que tu dis ça pauvre cinglée ? Regarde toi ! T'es qu'une folle ! Avec tes croix, tu sers à rien ! PSYCHOPATHE ! » Moi qui était prise d'un sursaut d'assurance, je sentis mon visage se décomposer alors que peu à peu, les cris enflaient dans le self. Tous, en chœur, reprenaient petit à petit la petite chanson Psychopath Killer. La première assiette se déversa sur ma tête. Puis ce fut une canette de soda. Et finalement, Lenny Swinton, meneur de l'équipe de foot, acheva mon nouveau style avec son plat de frites graisseuses. Je serrais les dents. Je sentais mes yeux me piquer sans savoir si c'était dû à la boisson gazeuse qui coulait le long de mon visage ou simplement à cause de humiliation publique que je venais de vivre. Je finis, sentant que je n'avais rien à faire ici finalement, par tourner les talons et m'enfuir. Je couru jusqu'au cimetière. Sans m'arrêter. Je couru. Ce n'est que devant la tombe de mon père que je craquais et laissait couler à flot des litres de larmes. Aujourd'hui, ça faisait cinq ans que mon père était mort.
------------------------- Je ne sais plus ce qu'il m'a pris. Le baiser, ses mains chaudes courant sous mon tee-shirt... Je ne sais pas pourquoi je l'ai attiré à moi, jouant avec le col de sa veste. Je me souviens juste de ses cheveux longs chatouillant ma joue et des picotement dans ma nuque à cause des regards braqués sur nous deux. Elle et moi. Étrangement, ce n'est pas la première fille que j'embrasse. Mais celle-là me fait l'effet d'une bombe. Si je suis amoureuse ? Pas vraiment. J'ai juste envie de tenter autre chose. Le premier verre éclaté par terre une minute et dix secondes exactement, après que mes lèvres aient emprisonné les siennes. Elle, c'est Lula, Laura ou Lola, un truc qui commence par L et qui fini par A, quoi. En fait, je m'en fou. J'ai juste envie de parcourir sa peau du bout des doigts pour voir si c'est plus doux. C'est la voix de ma mère que j'entends en premier. « Oh Mon Dieu ! Charlotte ! » Elle est haut perché, à tendance soprano. Ensuite, c'est une petit toussotement de la part du proviseur. Il ne doit pas être habitué à des embrassades publiques, encore moi entre deux femmes ou entre deux personnes de même sexe tout court en fait. Enfin, je comprend, au bruit des appareils photos et des clic et clac vifs que tout internet a pu me voir embrasser Lula ou Laura ou Lola Swinton, la sœur cadette de Lenny Swinton. Je me détache lentement de mon étreinte. Ça me manque déjà, elle a les lèvres toutes douces avec une note de fraise en arrière gout. Bon, ça doit être à cause des Soho qu'elle a bu en accompagnement de la vodka dissimulé dans son sac. Cette pauvre fille a l'air complètement paumée quand elle me regarde. Ses yeux partent un peu en vrille et elle n'arrive pas très bien à tenir droite. Mais moi, ça m'a fait rire. Je lui sourit avec aplomb, je suis étrangement contente d'avoir osé embrasser cette alcoolique bientôt anonyme. Je la laisse se remettre e ses émotions et m'en vais. Un dernier regard vers Samuel qui ne m'a invité à ce stupide bal que par défaut et qui en a écopé un joli coquard à l’œil droit. Puis je récupère ma mère, glissant mon bras sous le sien, fait un doigt d'honneur au ce cher et vieux proviseur et sort. Voilà, va te faire foutre sale lycée, tu ne risque pas de me manquer. « Tu sais, il faut aussi et quand même se protéger quand c'est avec des filles, hein, y en a, on ne sait pas où elles ont traîné. ».Ma mère lâcha cette phrase de manière anodine dans la voiture. J'avais envie de rire mais elle se serait vexé. « Maman, je ne suis pas.... » « certaine de vouloir en parler avec moi ? il n'y a pas de mal pourtant. Je veux dire, être .... enfin, tu sais, aimer les femmes, ce n'est pas un crime. » Je réfléchis un instant à ses paroles. Aimer les femmes. Est-ce que j'aimais les femmes ? Huuuum, certaines étaient bonnes, ouais. De quoi s'amuser un temps mais après, elles deviennent toutes chiantes, collantes. Non, je préfère les garçons. Ca baise et ça dit pas au revoir. Plus simple. Réfléchir à ça me fit décrocher. De quoi parlait ma mère déjà ? « Il existe des centres de préventions qui sont très ouvert d'esprit. Bien sûr, ça risque d'être dur, tu sais, les gens ont tendance à juger ce qu'ils ne connaissent pas... » A oui, mon coming-out à dix-huit ans. Étrangement, ma mère avait l'air de bien le prendre et j'ai comme le sentiment qu'elle serait déçue si je lui disais que tout ceci était faux. Mais elle ne m'a jamais vu avec un seul homme, comme personne ici. Alors bon, qu'ils croient que je suis lesbienne, je suis sûre que pour mon futur salon de tatouages, ça fera de la bonne publicité.
Dernière édition par Chuck Besley le Mar 28 Aoû - 14:07, édité 18 fois |
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Everleigh Kovaleski
PURSUIT OF HAPPINESS yeah i know it's hard to remember, the people we used to be, it's even harden to picture, that you're not here next to me. you ut's too late to make it, but is it too late to try ? and in you time that you wasted, all of our bridges burned down. Pseudo : AMNËSIA (émilie) Avatar : dianna (perfect) agron. Crédit : shattered.
| Sujet: Re: we are young (chuck). Lun 27 Aoû - 19:40 | |
| Une autre Emilie (là, je suis fière) Bienvenue, j'aime le pseudo |
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Lane Hannigan
.RUNNING UP THAT HILL. « He answers that when the sun has set, no candle can replace it.» Pseudo : CISCOKID. Avatar : PAUL WESLEY Crédit : AURELIE & TUMBLR
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Chuck Besley
« Mais les gens désespérés ne se rencontrent pas. Ou peut-être au cinéma. Dans la vraie vie, ils se croisent, s'effleurent, se percutent. Et souvent se repoussent, comme les pôles identiques de deux aimants.» Pseudo : blackroses. (emilie) Avatar : charlotte free Crédit : crying lightning (avatar) - tumblr (gif)
| Sujet: Re: we are young (chuck). Lun 27 Aoû - 19:54 | |
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Kal Leskinen
Pseudo : soft parade. Avatar : miles garber.
| Sujet: Re: we are young (chuck). Lun 27 Aoû - 20:18 | |
| Le choix d'avatar, las vegas parano (ah l'illustre maitre gonzo, cette phrase le définie si bien), le putain de pseudo. moi je dis: amen. Bienvenue ici, j'ai hâte d'en savoir plus sur la belle Chuck. |
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Chuck Besley
« Mais les gens désespérés ne se rencontrent pas. Ou peut-être au cinéma. Dans la vraie vie, ils se croisent, s'effleurent, se percutent. Et souvent se repoussent, comme les pôles identiques de deux aimants.» Pseudo : blackroses. (emilie) Avatar : charlotte free Crédit : crying lightning (avatar) - tumblr (gif)
| Sujet: Re: we are young (chuck). Lun 27 Aoû - 20:21 | |
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Kal Leskinen
Pseudo : soft parade. Avatar : miles garber.
| Sujet: Re: we are young (chuck). Mar 28 Aoû - 16:56 | |
| ... je le redis alors: amen amen. Psychopath Killer, quel surnom, j’ai tellement aimé la scène au lycée, lorsqu’elle ose enfin se faire entendre et dire ce qu’elle pense, plutôt que subir encore et encore, finalement, le jeu se retourne brusquement contre elle et, perdue, elle s’en va se rassurer là où elle le peut, près de la tombe de son père. "Aujourd'hui, ça faisait cinq ans que mon père était mort." et bim la grosse claque à la fin du texte, c'est sublime. Oh et j'ai adoré la réaction de la mère: "Tu sais, il faut aussi et quand même se protéger quand c'est avec des filles, hein, y en a, on ne sait pas où elles ont traîné.", Ça m'a fait sourire. De toute évidence validée et avec grand plaisir, amuse-toi bien parmi nous. - je viendrais certainement te réclamer un lien. |
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Chuck Besley
« Mais les gens désespérés ne se rencontrent pas. Ou peut-être au cinéma. Dans la vraie vie, ils se croisent, s'effleurent, se percutent. Et souvent se repoussent, comme les pôles identiques de deux aimants.» Pseudo : blackroses. (emilie) Avatar : charlotte free Crédit : crying lightning (avatar) - tumblr (gif)
| Sujet: Re: we are young (chuck). Mar 28 Aoû - 17:38 | |
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| Sujet: Re: we are young (chuck). | |
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