Âge, date et lieu de naissance: 25 ballets. Date, lieu , ça te regarde ? Non, on est d'accord. Indice : Manchester. Comme t'es forcément médium, tu devineras le reste, hein. Nationalité: Anglaise Origine(s): Anglaises y'a qu'à voir le patronyme, ça tombe sous le sens, n'est-ce pas ? Russkii, Ukrainiennes, de toute façon, à moins que tu sois raciste, ça t'importera peu.État civil: C'est mignon, t'es intéressé(e) ? Je t'en pose moi, des questions sur ta petite fleur, la taille de ta queue où comment tu te la fais frotter, civilement ? Mystère, petit(e), tu t'en contenteras. Orientation sexuelle: Orientation : Allez, dégage. Métier: Zone d'ombre, petit coin pénard de problème, vois-tu. Disons que je pratique tous les métiers possibles et imaginables. Figure-toi que ça dépend à quel point je suis dans la merde. Généralement, l'boulot de gigolo revient souvent. T'as assez d'thunes? Groupe: Scoop : c'est arrivé près de chez vous, Zito culbutant la femme du maire. Je ne caresse pas, je mords. Avatar: Tu sais qui. Lord Vold...
Maintenant je sais une bonne fois pour toutes qu'on ne chasse pas les images, et encore moins les brèches invisibles qui se creusent au fond des ventres, on ne chasse pas les résonances ni les souvenirs qui se réveillent quand la nuit tombe ou au petit matin, on ne chasse pas l'écho des cris et encore moins celui du silence.
Illusion coïtale
Chuchote. Souffle. Cajole. La main glissant doucement sur ses courbes en une cadence lascive, tu inspires le parfum capiteux qui émane de sa douce chevelure, l’explosion des sens, effluve de smog, volutes de rêve dans lesquelles tu te laisses emporter. Chute, métacarpe qui chute le long de son échine, chute de rein position ensorceleuse, faute de parcours, tu bois la tasse dans ses iris. Noyé sous l’écume, les lèvres qui picotent, réclamant un contact voluptueux, la chaleur sirupeuse de ses lippes suaves. Le diaphragme qui se contracte, tu te sens captif d’un mal irréductible, tu pousses se long et violent râle, agonisant sous son attaque, menée de front, surpris, tu te laisses abattre. Sa gracile proximité finit de t’accabler, ta chair évulsive coriace tente la résistance, faiblesse sudiste tu renverses l’assaillant sur l’étoffe duveteuse d’une peau de bête, la richesse encourage l’excentricité. Réflexion anarchiste brouillant l’envie qui remonte de tes tripes, quelques secondes avant l’abdication pure et totale. Profonde inspiration, tu plonges, oiseau migrateur, là où la moiteur estivale règne toute l’année. Tu te laisses choir, Albatros, le long d’un océan, épuisé. Imprégné d’une plénitude éphémère, tu te décides à fermer les paupières, tu espères que Morphée enchanteur, vienne jouer de sa lyre, rien, à l’indolence tu te confrontes. Automate défectueux, machinalement, toutes ces caresses effectuées, plaisir aux abonnés absents, tu commences à te croire anormal, sans cœur, sans profondeur. Tu n’as aucune personnalité, joujou adapté. On a tiré sur tes songes, avorté à la naissance d’un avenir prometteur. Tu vomis tout ce que tu as à l’intérieur, sur la première pétasse venue. Alors, entre deux politesses, entre deux mensonges sans finesse, tu allumes ta clope, la seule chose qui puisse te procurer ce que tu recherches avec avidité. Tu respires, tu inspires parfois expires, seulement, tu te sens toujours étouffé. Tu perds ton temps, tu fais aussi perdre celui des autres. Croque-mitaine, tu dévores leur énergie, t’aimerais goûter le monde, indigeste tu le recraches. Sociable limité, autiste dévergondé, tu exultes en silence, tu tisses les touffes de haine qui poussent dans ton jardin secret, dont personne n’possède la clé. Ligoté, le vrai toi, quelque part dans tout ce bordel émotionnel. Brisé, il attend qu’on vienne le sauver, d’une damnation éternelle. Eternel insatisfait. T'aimes pas, non, tu apprécies. Tu ne vis pas, non, tu survis. Tu gobes ce qui t'entoure, glouton des sensations. Au fond, t'y perds la raison. Zito meurtri.
Pseudo/prénom Moskishoes Âge: J'ai l'âge de t'envoyer paître, tiens. Présence: 5/7 généralement mais, on va dire : vive l'système scolaire. Commentaire: J'drafte, t'as du scope on compile ?
(Vos omoplates se déboîtent, Ô mes amours ! Une étoile à vos reins qui boitent Tournez vos tours ! Et c'est pourtant pour ces éclanches Que j'ai rimé ! Je voudrais vous casser les hanches D'avoir aimé !)
Dernière édition par Zitkovic-Marko Dmitriev le Mer 5 Sep - 13:33, édité 26 fois
Invité
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 18:08
Comme si la vie était un grand piano dont j’aurais négligé les pédales, ou dont, plutôt, j’aurais utilisé les pédales à mauvais escient : jouant à l’étouffée les ouvertures symphoniques de mes bonheurs et de mes succès, et attaquant piano forte les clairs de lune de mes mélancolies. J'emmerde la vie.
Exaltation du paradoxe. Zitkovic décide de se taire.
Cabalistiques mélopées qui étreignent mon ouïe, chants amazones venant de contrées oniriques, le corps aspiré par le vide affectif, comme des suppliques sensibles qui couvrent ma peau, j’aimerai réagir, j’aimerai jouïr de cette existence empotée qui ne cesse de me narguer. De loin, très loin, attaque préméditée, la souffrance comme arme en main, j’attends, j’entreprends dans un murmure de silence. L’espérance recroquevillée dans un coin de ma mémoire, j’oublie que quelque part, dans cet immense espace se trouve la personne. L’élu(e) qui viendra tuer le dragon aux portes de mon cachot. Mec ou meuf, qu’est-ce qu’on en a à fiche ? « Zitkovic » la reine mère, les crocs acérés, debout dans le chambranle. Vision pittoresque, tiens, ça m’inspirerait quelques vers, ode à sa laideur de méchante sorcière, je vis dans un mauvais conte du genre : « Ton moins que rien d’meilleurs ami t’attend en bas des escaliers. Dis-lui que la prochaine fois qu’il s’invite, j’l’accueille au fusil à pompe», rire cynique. Ce soir, je me tire, je voyage là où tu ne sais pas. Je pars, je m’efface, je me dissous, je me tais. Et puis, voilà.Silence radio.
« Au nom du père, du fils et du Gin tonic » carnassier sourire qui fend mes lèvres, baragouinage symbolique blasphématoire, insulte fantasmagorique gravée , impie fiévreux, habité par l’esprit démoniaque, je fais face aux ennuis, ectoplasme revanchard, je flotte au-dessus de vos têtes, jette un œil, en haut. Tu vois ? « Tu veux mourir, mec, d’jà qu’ils nous pensent pédé » angélique : « T’es pédé ». Homo sapiens, homo sessuaaaal. Homo quoi et c’est ma couille gauche, évidemment, interdiction catégorique de me les tripoter. « C’est des skinheads » Fichtre, je me pisse dessus : « Ce sont des fuckin’ Gunners qui débarquent chez les Red Devils, ça sent la mouise ». Ma tarlouze lève les yeux au ciel, il sait qu’on n’arrête pas des chiens enragés : « Ils sont cinq » « On est deux, bravo, les maths c’est définitivement ton truc ». Moqueur, je me lève, les regards présomptueux, j’en mange pour mes quatre heures. Buster pose sa main sur mon épaule, signe distinctif, hein, « T’as les chocottes ? » « Moi ? » s’insurge-t-il, horrible accusation sur sa personne, il se prépare à castagner des burnes chauvines. Bien, bien, brave camarade : « Enlève tes écarteurs, vieux et ton septum, j’ai pas envie de d’voir trainer avec un mononarine » « Hein ?! ». Je ne réfléchis plus, destructrice pulsion qui m’habite, je me fonds dans la foule nauséabonde aux émanations d’alcool, de sèches et autres odeurs particulièrement déplaisantes, corporelles.
Les doigts rougis d’hémoglobine, jointures parfaitement ankylosées, poupée fissurée, je roule ma bosse, assis comme un raté au bord d’une chaussée, la volonté passée pour morte, je masse ces membres endoloris des coups portés, une réminiscence de tragique : « Ma carte d’identité est toutes froissée, t’crois qu’ils vont l’accepter à l’aéroport ? », divine question existentielle que je décide impunément de snober, il y survivra, l’abruti : « Programmé à quelle heure, l’vol ? ». Il farfouille le veston déchiré, vestige insolent d’une bagarre insensée : « Putain, 30 minutes ». L’aéroport se trouve à 20 minutes, on y sera dans 10. Paroles d’un Dmitriev. Cela dit, n’en prends jamais compte. J'ai un mal de chien à tenir mes promesses.
Sécateur inviolable, cause toujours, tu m'intéresses Zitkovic décide de se refaire.
Pupille dilatée, neurones fatigués, heure très avancée, nuitée comique à quelques détails près. Paumé du côté de Liberty Avenue, j’échange ma salive, je la gâche, élastique désuet, dans les bras d’une Yankee. Beau prototype, régale visuel, fringale intellectuelle, de ce côté-là, y’a rien à en tirer. Précision : poches pleines, motif à intérêt. « Bébé, j’adore tes tatouages » misère à écouter, je retiens le sarcasme qui tangue contre mon palais, tambourine contre mes canines, croisé avec un chien féroce, je me fais sacrée violence : « J’en ai d’autres » clignement de sourcil, grivoise insinuation, « « Bébé », si on se taillait ». Expression extraterrestre, visiblement, car à cela, elle répond : « Une pipe, ici ? D’vant tous ces gens ?». Perplexe, je pense au mot « argent », flouze, pèze, pécule, thune, thune, THUNE j’vais faire une razzia dans son portefeuille, promis – aucun scrupule – celle-là, d’promesse, je m’y tiens toujours. Sourire factice qui étire mes traits d’engin intéressé : « Tu veux ? », elle disparait aussitôt sous la table, stupide salope, salope tout du moins qui répond à la demande. Et, je vais être payé pour ça, le monde est si bien fait.
Puis, au milieu de cette masse de corps suintant l’érotisme, je t’aperçois. Merveille articulée, je coule, je fonds, déclaré mort, à la suite d’une œillade appuyée, la tienne, beauté. Intemporelle impression d’essoufflement, pendant si longtemps, je t’ai couru après, voilà que de manière fortement inopinée, tu apparais, déesse païenne au visage mi Elfe, mi Fée. Irréelle comme l’intangible pourtant présent. Mon cœur observe la cavalcade de sa vie, le sang pulsant vigoureusement contre mes tempes alors, c’est ça ? L’amour ? Avalanche de picotement, la gorge nouée je le sens remonter le long de mon œsophage, ce maudit cri. L’appel muet ou serait-ce ce qui découle des mouvements sauvages de la catin cachée sous table ? Fausse alerte car quelques odieuses minutes suffisent à me faire oublier le vert de tes iris comme ces lèvres pleines esquissant un rictus à mon égard. Si j’arrive à me convaincre que je t’ai rêvé alors, pari tenu, je t’éradiquerai de ma mémoire aussi vite que tu y as pénétré. Paroles de Dmitriev, cela dit, je respecte rarement mes promesses mais ça, qui ne l'sait pas ? Je l'ai tellement répété qu'aimer Zito serait une faute, une erreur, la première, l'énième, la dernière, la pire. Allez viens, main dans la main, toi & moi à l'aventure.
Zitkovic s'éloigne, Zitkovic te triture, enivré de paresse, Zitkovic te baise quoique tu puisses faire, c'est dans sa nature.
Dernière édition par Zitkovic-Marko Dmitriev le Mer 5 Sep - 14:38, édité 38 fois
Celse Rosenberg
(entre tes riens)
Pseudo : oaristys.
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 18:13
J'aime l'avatar Salut (le mot bienvenue commence à me souler)
Minny Chesney
SHE WAS THE PUREST BEAUTY, BUT NOT THE COMMON KIND.
Pseudo : middle ages, laurine.
Avatar : rosie tupper.
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 18:13
beech. épouses-moi. bienvenue, j'ai hâte de voir le personnage.
" Wolf " Gayle
Pseudo : dieu
Avatar : nina nesbitt
Crédit : moi-même
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 18:15
Josh est un excellent choix! j'ai moi aussi hâte de voir ce que tu vas en faire. bienvenue
Betty Ahlstörm
betty c'est comme faire un sourire à la vie. betty c'est la beauté, c'est l'infini, c'est poésie, betty- saez .
Pseudo : anonymous (dc; jac)
Avatar : emily didonato
Crédit : shiya
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 18:16
BEECH, mon dieu. on va s'entendre. et puis ton pseudo est plus que bandant. et puis vu que je veux concurencer Celse, j'vais pas te dire salut, mais coucou. parce que je trouve que ça fait un peu.. jte branche avant même que t'es fini ta présentation quoi
sinon
Everleigh Kovaleski
PURSUIT OF HAPPINESS
yeah i know it's hard to remember, the people we used to be, it's even harden to picture, that you're not here next to me. you ut's too late to make it, but is it too late to try ? and in you time that you wasted, all of our bridges burned down.
Pseudo : AMNËSIA (émilie)
Avatar : dianna (perfect) agron.
Crédit : shattered.
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 19:45
Josh, excellent choix , bienvenue
H. Desya Ashes
VOLATILE TIMES
Pseudo : intodust.
Avatar : ashley stymest.
Crédit : americano (avatar)
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:03
je suis d'accord avec tout ce qui a été dit. puis le pseudo est vraiment classe. bon courage
Invité
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:12
Celse : Putain, on est deux. Dis, elle coûte cher la peau d'banane que t'as en signature
Je te dis pas merci mais " WOAW" , moi aussi, je change la donne
Minny, Wolf, Betty, Everleigh : en rang deux par deux ou sinon, faites la queue
Minny si je t'épouse, j'y gagne quoi ?
Franchement, si c'est pas mettre de la pression, sérieux, je sais pas
Vous êtes carrément trop...chou ? Ouai, chou
Desya tu gères, ci-mer.
Bon, je cherche des liens donc, si certaines ont envie de se faire dépouiller sentimentalement parlant ou dépouiller tout court
Jarvis Mackay
JE VEUX ÊTRE SEUL, RESTE LA. TOI TA GUEULE, JE PEUX PAS ME CALMER, LAISSE MOI TEMPÊTER.
Pseudo : Smoking Neuf
Avatar : Harvey Newton Hayton
Crédit : november
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:13
Josh est parfait. Bienvenue .
Lola Swinton
La petite angoisse de la déprime qui va qui vient quand on me demande si ça va je suis comme tout le monde je réponds "bien"
Pseudo : AVEA. ( MAEVA )
Avatar : FREJA BEHA ERICHSEN
Crédit : BABINE&TUMBLR
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:17
gosh beech le mec bandant par excellence Ö quel succès ! quandtuveuxoùtuveux
Invité
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:21
Jarvis, que dire de HNH , hein
Lola , chez moi ou chez toi ?
Danke
Celse Rosenberg
(entre tes riens)
Pseudo : oaristys.
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:25
elle coûte c'que t'es prêt à y mettre, old boy.
Lola Swinton
La petite angoisse de la déprime qui va qui vient quand on me demande si ça va je suis comme tout le monde je réponds "bien"
Pseudo : AVEA. ( MAEVA )
Avatar : FREJA BEHA ERICHSEN
Crédit : BABINE&TUMBLR
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:27
peu m'importe ;) si tu as besoin de lien tu sais où me trouver
Invité
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:30
Celse : Deux pesos, mec ( même si ça ne mérite pas un kopec) D'ailleurs, j'exige un croc d'ce dans quoi j'investis, mesure de précaution. Y'a des arnaqueurs partout
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:32
Croc accordé bambino, quand tu l'auras dans la bouche tu diras moins de bêtises. (pourquoi on a une discussion phallique? )
Invité
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 20:44
J'ai une grande bouche ( honnêtement, je crois c'est le sommeil)
Minny Chesney
SHE WAS THE PUREST BEAUTY, BUT NOT THE COMMON KIND.
Pseudo : middle ages, laurine.
Avatar : rosie tupper.
Sujet: Re: Regarde les funambules Mar 4 Sep - 23:37
Zitkovic-Marko Dmitriev a écrit:
Minny si je t'épouse, j'y gagne quoi ?
dépends d'ce que tu demandes.
Betty Ahlstörm
betty c'est comme faire un sourire à la vie. betty c'est la beauté, c'est l'infini, c'est poésie, betty- saez .
Pseudo : anonymous (dc; jac)
Avatar : emily didonato
Crédit : shiya
Sujet: Re: Regarde les funambules Mer 5 Sep - 5:48
Zitkovic-Marko Dmitriev a écrit:
J'ai une grande bouche ( honnêtement, je crois c'est le sommeil)
genre essayez pas de vous trouvez des excuses! VOUS ALLEZ CHOQUER MA BETTY CHASTE ET PURE.
(tu penses que c'est plausible qu'on est un lien?)
Invité
Sujet: Re: Regarde les funambules Mer 5 Sep - 8:47
Minny : Ça va pas coller, je suis gourmand et t'as l'air généreuse avec limites
Betty : On fait c'qu'on veut Un rien la choque, ta petite Betty ( je propose qu'on alimente la partie icone parce que, disons, que sans mes smiley d'pervers, smiley siffleur, smiley 'jte baise, je m'en sors pas, moi)
( Bien sûr, ça pourrait se goupiller, je vais lire ta fiche, si tu as une idée, mpotte-moi ( là, par exemple, le smiley pervers ou siffleur aurait fait l'affaire))
Lane Hannigan
.RUNNING UP THAT HILL.
« He answers that when the sun has set, no candle can replace it.»
Pseudo : CISCOKID.
Avatar : PAUL WESLEY
Crédit : AURELIE & TUMBLR
Sujet: Re: Regarde les funambules Mer 5 Sep - 18:19
J'aime, j'aime, j'aime Tu es sans conteste validé
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Regarde les funambules
Regarde les funambules
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum